Nous ouvrons une nouvelle zone d’apprentissage qui explique pourquoi chaque grande classe d’actifs mérite d’être étudiée pour participer à votre portefeuille. La dose de chaque classe dépendra ensuite de votre profil de risque et de vos projets de vie.
La première leçon est disponible, les autres suivront bientôt !
Nous sommes preneurs de tous vos retours et éventuelles questions 
A+ 
6 « J'aime »
Bobby
2
Bonjour Ă tous
Merci à l’équipe Cayas pour cette nouvelle leçon.
Une question quant au graphique de répartition des capitaux par classes d’actifs.
Sommes nous d’accord que la source utilisée est bien celle-ci ?
Si oui, j’ai relevé une information qui me semble « importante » dans l’article indiquant que matières premières à l’exception de l’or et cash ne sont pas pris en compte dans la répartition présentée du GMP.
However, we exclude cash and commodities, except gold, from this portfolio as our focus is on capital and store-of-value assets.
Si le cash peut effectivement être de facto écarté de notre réflexion car vous indiquez bien qu’on parle uniquement d’actifs investissables, les matières premières peuvent l’être. Peut être est ce utile d’ajouter ce complément d’information ? Ou peut être que c’est rentrer inutilement dans le détail quand une catégorie « Autres trucs » se veut à contrario plus abordable et généraliste ?
Cette répartition inclut uniquement les actifs investissables, c’est-à -dire qui se négocient en Bourse ou auprès d’acteurs financiers. La boulangerie du coin est une entreprise, mais elle n’est pas cotée en Bourse : elle n’est donc pas incluse ici. De même, la maison de tonton n’est pas un actif investissable en Bourse : la part de l’immobilier ici ne tient pas compte des propriétés des particuliers.
Voilà maintenant que j’ai fini de la ramener, je file dans ma chambre continuer à réviser 
Bonne journée 
1 « J'aime »
Oui, tu as vu dans notre jeu : on a planqué les commodities dans ce tableau, pour rester orientés « grand public ».
Le problème des commodities, c’est que c’est pas trivial à valoriser. Ce n’est pas comme des actions, qui sont un stock de capital : on fait la somme des actions multipliées par leur prix et voilà .
Pour les matières premières, il y a une notion de flux : les agriculteurs récoltent du blé, les mineurs cassent continuellement des cailloux, des biscuiteries consomment de la farine, des aciéries coulent du métal. L’achat et la vente de matières premières est un gros morceau de l’économie, on parle en milliers de milliards.
Mais en finance, c’est-à -dire le marché négociable, c’est des contrats à terme. Et les contrats à terme, c’est quelqu’un qui est long et quelqu’un qui est short. La somme est nulle. On pourrait exprimer la valeur notionnelle, qui est le produit du prix des contrats par le nombre de contrats ouverts à un moment donnée (« open interest ») mais c’est fluctuant et ça dépend de ce qu’on intègre au suivi.
Donc on va gentiment continuer Ă botter en touche lĂ -dessus, hein ? 
Bobby
4
Bonjour @vincent.p
Comment ca les produits dérivés c’est pas simple à comprendre ? 
Merci pour votre réponse !
Bonne journée